L’Aide Personnalisée au Logement

L’Aide Personnalisée au Logement ou APL est une aide pour loger en maison de retraite. Elle est perçue par les personnes âgées vivant dans une maison individuelle, ou en maison de retraite. C’est un dispositif parmi tant d’autres qui permet d’alléger les charges de la famille au niveau des frais de logement dans un EHPAD. En effet, les tarifs pratiqués en maison de retraite peuvent différer d’un établissement à un autre. Raison pour laquelle l’APL est revisitée tous les ans et prend en charge une partie du loyer. Pour en être éligible, il suffit de remplir les conditions suivantes :

. vivre à domicile ou dans un établissement, mais ne pas bénéficier des ressources monétaires suffisantes ;
. vivre chez un accueillant familial dont les ressources monétaires sont suffisantes, selon le nombre de personnes à charge dans la maison ;
. être âgée de 60 ans et plus.

L’allocation de logement social

Connue sous le sigle ALS, l’allocation de logement social cible les personnes âgées ne pouvant pas avoir accès à l’APL. Les conditions d’éligibilité ne sont pas aussi strictes que pour le précédent dispositif. Cependant, les montants versés sont soumis à un examen de dossier approfondi, selon les critères ci-dessous :

. la moyenne du montant perçu à A-1 ;
. le prix du loyer ;
. le lieu de résidence ;
. le type de logement.

L’allocation de logement social peut servir à financer le loyer d’une personne âgée dans une maison de retraite non conventionnée. Pour en bénéficier, charge à l’établissement qui vous héberge de la réclamer à la CAF.

La location de la maison principale

C’est une autre méthode pour financer seul(e) le loyer d’une personne âgée dans une maison de retraite. Si vous avez une ou deux résidences que vous n’utilisez pas, mettez-les en location ! Cela vous assurera un revenu mensuel stable et vous offrira la possibilité de mettre de côté, sans avoir besoin des aides de l’État.

Quels sont les premiers pas à faire ?

Vous ne disposez que de très peu de temps pour trouver une entreprise de pompes funèbres. Les familles, les voisins et les connaissances vont arriver bientôt pour assister aux funérailles. Donc, le plus rapide est d’utiliser le système de bouche-à-oreille pour trouver l’agence qui convient le plus à vos attentes et votre budget. Demandez à des amis ou à des proches pour trouver l’entreprise de pompes funèbres idéale. Choisissez une agence proche de chez vous pour faciliter la réalisation des funérailles. Si aucun de vos proches n’a pu vous recommander un professionnel, vous pouvez aussi effectuer une recherche en ligne. L’agence Funerama fait par exemple partie des meilleures adresses dans ce secteur. Il existe également des sites comparateurs pour vous permettre de comparer les services de plusieurs entreprises de pompes funèbres en même temps. Utilisez-les. N’hésitez pas à demander un devis avant de faire votre choix.

Quels sont les choix possibles ?

Notez qu’il existe plusieurs types d’agences de pompes funèbres. Donc, il ne suffit pas de faire une recherche globale sur les agences de funérailles les plus proches de chez vous. D’abord, il y a les grandes agences qui possèdent un réseau réparti dans toutes les régions. Puis, il y a les affiliés ou les semi-indépendants qui travaillent entre eux pour centraliser leur gestion. Ensuite, il y a les réseaux d’agences privées qui s’organisent entre eux pour se partager le marché des funérailles. Enfin, vous avez les indépendants et les sociétés d’économie mixte qui sont, pour leur part, gérés par un groupe d’entreprises privées ou une famille. Peu importe sur quel type d’agence se porte votre choix, il y a des critères communs à prendre en considération lors de votre recherche, comme les services obligatoires et facultatifs que propose la société. Etudiez-les de près. Enfin, après les funérailles, prenez le temps de pleurer votre perte, d’accepter son départ et de recommencer petit à petit à vivre et retrouver le bonheur.

Des conseils pour aider votre enfant

Écoutez sans vous mettre en colère. Mettez vos propres sentiments de côté, asseyez-vous et écoutez ce que votre enfant vous dit. Demandez à votre enfant: « Comment veux-tu que je réagisse ? » plutôt que de prendre directement le relais afin qu’il ne se sente pas exclu dans la prise de décision.

Rassurez votre enfant : ce n’est pas de sa faute. Il y a toujours une stigmatisation attachée à l’intimidation et certains enfants sentent qu’ils en sont eux-mêmes la cause. Rappelez-lui que beaucoup de célébrités ont été intimidées aussi. Être intimidé ne veut pas dire être faible tout comme être un intimidateur n’implique pas qu’on est fort. Encouragez votre enfant à essayer de paraître confiant, même s’il ne l’est pas vraiment. Le langage corporel et le ton de la voix parlent beaucoup.

Ne laissez pas l’intimidation dominer sa vie. Aidez votre enfant à acquérir de nouvelles compétences dans un tout autre domaine. Cela pourrait l’inciter à rejoindre un club ou une activité comme le théâtre ou l’autodéfense. Cela donne confiance, aide à garder le problème en perspective et offre la possibilité de faire de nouveaux amis.

A éviter

N’allez surtout pas voir le professeur, l’intimidateur ou les parents de l’intimidateur. C’est généralement la réaction que les enfants craignent et qui peut aggraver l’intimidation ou la violence. Une telle initiative ne résout pas le problème et, si votre enfant est en manque de confiance (la plupart des enfants intimidés le sont), cela ne fera qu’augmenter ses stress et anxiété.

L’analyse d’ADN

Pour savoir qui est le père de l’enfant, on peut recourir à ces différentes techniques de prélèvement :
– Le frottis buccal est le moyen de prélèvement le plus facile à utiliser. Il est à la fois fiable et économique. Il consiste à frotter l’intérieur de la joue avec du coton-tige dans le but de prélever de la salive et des cellules. Mais il existe aussi d’autres éléments qui pourraient contenir de l’ADN, comme les cheveux avec les racines, un mouchoir, un mégot de cigarette. Toutes les molécules d’ADN restent les mêmes dans chaque cellule du corps. Il faut malgré tout considérer l’âge et la quantité d’ADN récolté pour s’assurer que le test ne soit pas faussé. N’ayez cependant aucune crainte, car un test de paternité reposant sur un test d’ADN est à 99,9% fiable. A noter qu’un test de paternité ne doit être effectué que s’il est ordonné par un juge.
– Si aucun prélèvement du présumé père n’est disponible, il y a encore la possibilité de faire les tests de chromosomes X ou Y qui permet de prouver la filiation à partir des membres de la famille comme les grands-parents paternels, le frère ou la sœur. Dans ce cas, les zones de recherche dans l’ADN peuvent changer en fonction du sexe de l’enfant. Pour une fille, l’analyse se concentrera essentiellement sur le chromosome X d’un membre de la famille paternelle, tandis que pour un garçon, on se fixera seulement sur le chromosome Y.

Méthode des gènes récessifs

Il consiste à étudier les caractères exprimés par des gènes récessifs. Selon la méthode de l’échiquier de Punnett qui se base sur la probabilité et l’ordre de l’incertitude, on peut écarter certaines parentés entre deux personnes de couleur d’yeux différentes. Généralement, un bébé avec les yeux marron ne pourrait être l’enfant d’un homme aux yeux bleus même si la mère possède cette couleur. C’est une méthode basée génétiquement, toutefois il existe des cas rares et des exceptions.

Méthode des groupes sanguins

Les groupes sanguins peuvent aussi livrer des indications sur la filiation. Des tests et des études sur les groupes sanguins sont également fiables. Exemple une mère de groupe « A » ne pourra avoir d’enfant de groupe « AB » avec un père qui est également de groupe « A » ou qui est de groupe « O ».

La maladie d’Alzheimer

La maladie d’Alzheimer se présente surtout par des problèmes de cognition, notamment relatés par des difficultés de concentration, des difficultés de mémoire, des difficultés d’orientation et de langage. Ce qui demande un accompagnement qui doit être ajusté à l’état de la personne, afin que le résident puisse s’assurer de faire des activités qui soient adaptées à ses besoins et qui soient programmées au jour le jour. Les malades sont aussi sujets à des troubles du comportement qui doivent être accompagnés comme, les problèmes nocturnes, l’errance, l’agressivité, mais aussi, les cas d’agitation.

La dégénérescences fronto-temporales

Généralement, ce type de maladie neurodégénérative survient à un âge plus précoce que dans le cas de la maladie d’Alzheimer et touche autant les hommes que les femmes. Cette maladie se remarque surtout à travers des signes comme, la perte brusque de mémoire ou le changement comportemental soudain, le problème de langage ainsi que la difficulté à bouger. Cependant, il se différencie de la maladie d’Alzheimer du fait qu’il n’impacte pas la totalité du cerveau, mais touche la partie du lobe frontal du patient. Par ce constat, le malade aura les mêmes besoins d’accompagnement que le patient victime de la maladie d’Alzheimer.

La maladie à corps de Lewy

Affectant les fonctions cognitives d’une personne, le développement de la maladie à corps de Lewy se fait à travers des dépôts d’amas de protéine appelés « les corps de Lewy » au niveau des cellules qui constituent les régions du cervau. Ce qui provoque un dysfonctionnement de la partie du cerveau touchée. Contrairement à la maladie d’Alzheimer, cette maladie évolue très rapidement et cause des dommages sévères sur les facultés mentales de l’individu. Ce dernier va ainsi, présenter des symptômes comme les endormissements soudains et la perte considérable de la capacité d’attention. On notera également une baisse des repères spatio-temporels ainsi que des troubles comportementaux, mais aussi, une baisse de la fonction intellectuelle chez le patient. Des cas de dépressions ainsi que des syndromes extrapyramidaux et des difficultés à mouvoir seront également constatés.

Vous avez un proche qui se fait vieux et qui va bientôt entrer en maison de retraite ? Abandonner un milieu dans lequel on a passé la moitié de sa vie (ou plus encore) pour entrer dans un nouvel espace est une étape difficile à cet âge. D’ailleurs, vous ne serez pas surpris de voir de nombreux seniors qui refusent d’entrer en maison de retraite. Pour aider votre parent à dépasser cette étape, soyez à ses côtés et aidez-le à préparer son entrée.

Choisir la bonne maison de retraite

Les maisons de retraite médicalisées également appelées EHPAD ou établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes sont très nombreux en France. Oui, mais ils ne proposent pas tous les mêmes services. En effet, certains établissements ne bénéficient pas de l’aide sociale à l’hébergement et beaucoup d’entre eux ne sont pas conventionnés pour permettre aux résidents de bénéficier de l’APL ou aide personnalisé au logement. L’emplacement de la maison de retraite est également un critère de choix. Cela dépendra bien évidemment des envies de votre parent (un emplacement à proximité de son ancienne résidence pour qu’il ne perde pas ses vieilles habitudes ou bien, un emplacement qui lui permette d’être proche de sa famille). Les maisons de retraite chez logement-seniors sont une des plus convoitées en France. La raison en est qu’elles bénéficient d’un service impeccable et offrent un environnement sain et calme à ses résidents. Si ces 2 points sont une priorité pour vous, c’est l’endroit qui vous ravira.

Se renseigner sur les aides financières

Une fois que vous avez sélectionné la maison de retraite qui correspond à votre parent, renseignez-vous sur les aides dont celui-ci peut bénéficier. Les aides publiques peuvent vous aider à payer les frais d’hébergement. Parmi ces aides figurent l’allocation personnalisée d’autonomie (APA), l’aide personnalisée au logement (APL) et l’aide sociale à l’hébergement (ASH). L’allocation de ces aides va dépendre des revenus de votre parent, de son éligibilité par rapport à ces aides et de l’établissement en question.

Déposer la demande d’admission

Pour être admis dans un EPADH, il faut remplir un formulaire unique de demande d’admission. Actuellement, tous les établissements utilisent un dossier national unique d’admission. Ces formulaires d’admission sont accessibles sur le site service-public.fr.

Une obligation légale

Pour pouvoir apposer ce petit logo à l’entrée de leurs bâtiments ou sur leurs sites internet, les établissements doivent subir un audit réalisé par un expert en diagnostic accessibilité handicapés. Soyez donc sûr qu’il s’agit d’une démarche sérieuse et rigoureuse mise en œuvre par l’État. Elle vise à assurer aux seniors confort et sécurité depuis l’entrée jusqu’à la sortie de l’établissement concerné. Car les normes d’accessibilité portent aussi bien sur le bâtiment que ses abords.

Les aspects concernés par l’accessibilité

Quand on est âgé, il n’est pas toujours aisé de se déplacer dans les endroits publics, surtout si en plus, on doit se déplacer avec un fauteuil roulant. Concrètement, un bâtiment dit « accessible », l’est sur plusieurs zones : les cheminements extérieurs, le parking et les places de stationnement des voitures, l’entrée et l’accueil dans l’édifice, les espaces de circulations horizontales et verticales au sein du bâtiment, les toilettes, les portes et portails qu’ils destinés à l’entrée ou à la sortie, les revêtements des sols et ceux des parois, l’ensemble des équipements et des mobiliers ainsi que les infrastructures en intérieur et en extérieur.

L’État : un soutien de taille

Sachez que l’État protège les personnes âgées en situation de handicap. D’ailleurs, des amendes sont prévues pour toutes les enseignes dont le bâtiment ne respecte pas les normes alors qu’aucune inscription à l’agenda d’accessibilité n’est constatée.

Appareils auditifs, comment s’y retrouver ?

La presbyacousie est un phénomène lié au vieillissement de l’organe de l’ouïe. Il s’agit d’une forme de surdité qui atteint les personnes de plus de 55 ans. S’équiper d’un appareil auditif devient alors nécessaire. Actuellement, avec l’évolution technique, les appareils auditifs sont de plus en plus performants, et il devient presque impossible de s’y retrouver. En règle générale, il existe trois sortes d’appareil auditif, les contours d’oreilles, les mini-contours d’oreilles et les intra-auriculaires. La première est la plus classique, la partie captant le son est placée derrière l’oreille et elle est jointe à un embout qui va amplifier le son jusqu’aux tympans. La seconde et plus petite et contrairement à la première, l’embout utilisé est ouvert ce qui a pour effet de ne pas boucher le conduit auditif. Enfin vient le modèle dernier cri : l’intra-auriculaire. Très apprécié pour sa discrétion, l’intra-auriculaire séduit de nombreux patients. Il s’agit d’un dispositif conçu sur mesure qui se place directement dans le conduit auditif. Ils sont presque invisibles.

Une mutuelle pour prendre en charge les prothèses auditives

Arrivé à un certain âge, le port d’appareil auditif devient primordial. Afin d’aider les seniors, les mutuelles de santé en vue de la prise en charge des prothèses auditives ont été créées. De ce fait, les prothèses auditives de chez Audioboutik peuvent être remboursées par la sécurité sociale. En effet, les seniors peuvent bénéficier d’une prise en charge pouvant aller jusqu’à 60% sur les prothèses auditives ayant été prescrites par les médecins.

Le Portugal

Le Portugal est recommandé si vous prévoyez de partir vivre hors de la France durant votre retraite. Ce pays se trouve à proximité géographiquement et vous pouvez y passer une retraite tranquille grâce à un régime fiscal avantageux et à un climat agréable. En effet, les séniors du secteur privé qui s’installent au Portugal peuvent bénéficier d’une exonération d’impôt sur leur pension pendant 10 ans. Toutefois, ils devront vivre au moins 6 mois dans le pays pour jouir de cet avantage.

La Thaïlande

Outre le fait que c’est un beau pays, la Thaïlande est une meilleure destination pour vivre sa retraite grâce à son coût de la vie très faible. En effet, la vie en Thaïlande est environ 3 fois moins chère que la vie en France.

Le Maroc

Comme le Portugal, le Maroc est un pays qui se trouve à proximité de la France, donc on ne risque pas d’être dépaysé en partant vivre là-bas. En plus, c’est un beau pays avec une situation économique stable, un climat doux et où les gens parlent couramment le français. Le coût de la vie au Maroc est environ 2 fois moins élevé que le coût de la vie France. Et les retraités peuvent également profiter des avantages fiscaux, c’est-à-dire une réduction de 40 % sur les revenus déclarés et 80 % de remise sur l’impôt dû.

La Malte

La Malte est une île charmante se trouvant au sud de la Sicile. Outre sa proximité géographique, c’est un pays riche en culture et le coût de la vie y est 25 % moins faible que celle de la France. En s’installant dans ce pays, les séniors peuvent facilement garder le contact avec leur famille en France. En plus, ils peuvent jouir d’avantages fiscaux.

La lecture

Pour les personnes âgées, faire de la lecture est recommandé puisque cela stimule le cerveau et permet d’avoir une bonne mémoire. On peut trouver du bon plaisir dans la lecture, il suffit de choisir le bon livre et un thème qu’on apprécie. En plus, les bibliothèques offrent un large choix de bouquins.

Initiation à l’informatique

Même âgé, il n’est pas trop tard pour s’initier à l’informatique. Connaitre l’informatique permet d’avoir beaucoup de loisirs comme naviguer sur le web, discuter avec des amis sur les réseaux sociaux ou trouver un compagnon sur les sites de rencontres dédiés aux séniors.

Jouer aux jeux de société

Pour se divertir et en même temps entretenir les neurones, il est indispensable de jouer à des jeux de société comme le scrabble, l’échec ou le bridge. Ce sont des loisirs simples vraiment adaptés aux personnes âgées.

Faire des activités physiques

Pour dépenser le temps, trouver du plaisir et en même temps entretenir son corps, il est conseillé pour les séniors de faire des activités physiques adaptées comme la marche, le vélo, les randonnées, la nage et autres. Les activités externes sont plus recommandées pour plus de bien-être et de plaisir.

La musique et la danse

La musique et la danse sont également des loisirs adaptés aux personnes âgées. Ce sont des activités simples, mais agréables. La musique est une activité culturelle très bonne pour la santé. De son côté, la danse permet de rencontrer différentes personnes, donc d’oublier la solitude qui est souvent le premier ennemi des séniors.